Faut-il faire la fête à l’AFEST ?

Alain Frederic FERNANDEZ répond aux questions de Manal Ratnane.

Lex Formativa, le magazine juridique de FORMA Radio 00:47 L’AFEST, Action de Formation En Situation de Travail, reproduire une séquence de travail.

01:33 Autrefois on appelait « la formation sur le tas », ce que c’est reconnu juridiquement. De 1971 à 2009, la formation sur le tas était interdite, il fallait déduire la marge produite pendant la formation. En 2009, la formation sur le tas est intégrée au domaine des possibles. En respectant un certains nombre de règle comme la traçabilité.

03 :24 C’est surtout la répétition l’expérimentation. C’est historiquement, c’est la méthodologie de la TWI, en 1941, l’expérimentation sans l’intellectualisation. Avec l’AFEST, on a rajouté un volant de rétroaction, c’est à dire on réfléchit, c’est dévoyer l’efficacité de l’expérimentation d’origine.

05:33 La désigantion du « référent » pour mettre en place l’AFEST. Ce doit être un formateur et non un manager.

08:23 Le responsable de formation doit identifier les experts métier.

10:04 Il y a une phase réflexive où l’apprenant s’exprime sur ce qu’il appris.

14:02 Avec l’AFEST la formation s’adresse au « cerveau primitif ».

17:30 L’AFEST et le numérique.

22:08 La traçabilité et la charge de la preuve par « tous les moyens ». Le formalisme n’est pas dans la loi .

23:38 L’évaluation par le formateur.

26:36 Les financements de l’AFEST.

30:53 L’AFEST est une base pour l’entreprise apprenante ou le knowledge management.

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